Psychologie : Ensemble d’idées, d’état d’esprit caractéristique d’une collectivité.
Généalogie : Science qui a pour objet la recherche des filiations.
Psychogénéalogie : Type de thérapie qui prend en considération le passé et la vie familiale de la personne traitée.
L’existence d’un secret, d’un non-dit, d’un acte inavouable, d’un traumatisme non métabolisé dans le psychisme de celui qui l’a vécu et resté du domaine du refoulé.
La constellation familiale est issue d’une méthode développée par Bert HELLIGER, psychanalyste et psychothérapeute Allemand.
Cette méthode est basée sur la théorie que l'inconscient collectif groupai peut faire émerger la solution aux maux de la famille et c’est l’inconscient qui est sollicité comme étant le lieu de la solution.
Dans la pratique en France, certains acteurs utilisant les constellations familiales se sont aussi occupés de mémoires transgénérationnelles et se sont dès lors rapprochés de la psychogénéalogie.
Elles constituent des actes plus que symboliques qui permettent alors de résoudre rapidement les conflits transgénérationnels, libérant ainsi les générations futures, qui ne les reproduiront plus selon la « loyauté familiale invisible »suivant ce que Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE a découvert.
Cette loyauté devenant visible, elle permet à celui qui en est le gardien de choisir consciemment ce qui lui convient et de ne plus exprimer à ses dépens des programmes familiaux souffrants qui y sont liés.
L’impact du vécu de mes aïeux : thérapie développée par Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE ; la psychogénéalogie repose sur le principe selon lequel le vécu de nos ancêtres influencerait notre existence.
D’abord Freud dans « Totem et Tabou » puis Carl JUNG, Nicolas ABRAHAM, Maria TOROK et Didier DUMAS, ont évoqués dans leurs travaux la transmission de l'inconscient d’une personne à l’autre, de génération en génération.
Mais c’est Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE, psychanalyste française, qui développe les principes de la psychogénéalogie en 1970.
Alors qu’elle travaille avec des malades atteints de cancer, elle repère dans leur histoire familiale des répétitions.
Elle parte de « syndrome anniversaire » ; le résultat de ses recherches fait alors l’objet d’un ouvrage Best - seller dans le monde entier « Aïe, mes aïeux ! »
Blocage, problème psychologique, difficultés personnelles et même les maladies pourraient provenir de ses aïeux.
On utilise la méthode du génosociogramme, un arbre généalogique, qui retrace tous les événements marquants de la vie de chaque ascendant (DC, accidents, mariages, séparations, naissances, maladies… )
L’outil obtenu permet de mettre en évidence les répétitions d’une génération à l'autre.
Commencez votre enquête en interrogeant oncles, tantes et arrière grands parents.
Le passage par la case « état-civil » se révèle également indispensable ; n'hésitez pas à vous rendre dans les mairies des villages d’origine de vos ancêtres, pour consulter registres et archives.
Asthme, cauchemars ou échecs récurrents…
Et si nos troubles commémoraient les faits marquants de la vie de nos ancêtres ?
Cette technique, qui étudie les répétitions sur plusieurs générations, donne des résultats étonnants.
Sources : Wikipédia, Au féminin, Psychologie.com