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Psychogénéalogie à Nice (06000)

Quelques définitions

Psychologie :  Ensemble d’idées, d’état d’esprit caractéristique d’une collectivité.

Généalogie :  Science qui a pour objet la recherche des filiations.

Psychogénéalogie : Type de thérapie qui prend en considération le passé et la vie familiale de la personne traitée.

Psychanalyse transgénérationnelle

L’existence d’un secret, d’un non-dit, d’un acte inavouable, d’un traumatisme non métabolisé dans le psychisme de celui qui l’a vécu et resté du domaine du refoulé.

  • Francoise DOLTO : Les enfants héritent des troubles non résolus de leurs parents ains que de leurs dettes inconscientes à l’égard des générations précédentes.
     
  • Serge LEBOVIA : a travaillé sur ce qu’il nomme les mandats transgénérationnels et l’arbre de vie des parents.
     
  • Sege TISSERON : Qui est psychanalyste, a étudié la question de la transmission des images mentales entre les générations.
    Il développe une hypothèse de l’ordre de la psychogénéalogie à propos de l’oeuvre de d’Hergé dans son ouvrage : « Tintin et le secret d’Hergé ».
    Il affirme qu’il faut tenir compte du passé familial  pour analyser les difficultés du présent, plutôt que, comme les psychogénéalogistes, chercher les origines des troubles présents dans le passé familial.
     
  • Ivan BOSZORMENZYI - NAGY : Psychiatre Hongrois, né en 1920, a introduit le concept de » Loyauté familiale invisible ». Il a travaillé sur les notions de « Justice », « d’Equité »  au sein de la famille, de « Légitimité constructive et destructive" des enfants envers  leurs parents et de la parentification.
    Le système familial demeure en équilibre tant que la justice et l’équité régissent les relations entre les membre du clan. Ces règles permettent à l’affection et au respect d’exister.
    Mais, si cette justice vient à manquer, si elle est remplacée par la mauvaise foi ou une exploitation quelconque de l’autre, alors apparaissent les sentiments : d'injustice, de ressentiment, de compétitivité.
    Des dettes émotionnelles restent impayées et la culpabilité sous-jacente vient saper l'équilibre familial, tandis que d’autre part surviennent rancoeurs, colères refoulées.
    Le grand livre des comptes des crédits et des débits n’est pas en balance ⚖️ et selon la loi des loyautés familiales, une série de problèmes peut survenir de génération en génération, comme des accidents, des maladies, haines  ataviques (héréditaires) etc…
     
  • Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGER :  Elle est une psychologue de l’université de NICE et aurait été la principale créatrice avec l’Américain Jacob LEVY MORENO, de la psychogénéalogie dans les années 1970.
    Ses thèses transgénérationnelles sont diffusées par le livre :  "Aïe mes aÏeux ! »
    Elle invente le concept du syndrome d’anniversaire, supposant que les individus sont la résultante de leur histoire familiale sur plusieurs générations, les faits marquants de la vie des ancêtres rejaillissant sur les générations suivantes. Elle affirme que les individus sont dans une boucle de répétition des événements dont seule l’analyse des arbres généalogiques permettrait de comprendre les agissements et d’en sortir.
    Elle démontre ses idées à l’aide du génosociogramme ou génogramme : sorte d’arbre généalogique qui permet de schématiser et visualiser facilement l’histoire d’une famille au sens large.
    Le génésociogramme est établi sur plusieurs générations, réalisé avec le consultant, en plusieurs temps et sur la base de conventions graphiques.
    Il permet  d’appréhender la nature des liens entre les différents membres de la famille ainsi que les dates et évènements importants pour le travail d’exploration transgénérationnel.
    Elle a publié avec Ghislain DEVROEDE : « Ces enfants malades de leurs parents » recueil de cas cliniques significatifs de non-dits transgénérationnels.
    Dans de nombreux cas, c’est le corps de l’enfant, du tout petit enfant ou de l’arrière-petit-enfant, quel que soit son âge, qui s’exprime pour l’ancêtre blessée qui « parle » pour les traumatismes qu’il a subis.
     
  • Alejandro JODOROWSKY :  Poète, cinéaste, scénariste de BD et agitateur culturel inclassable, a en dehors des sentiers de la psychologie et des études universitaires, trouvé le chemin du transgénérationnel au travers de ses propres expérimentations.
    Il est l’inventeur du terme « Psychogénéalogie ». 
    Fort de son expérience de metteur en scène, il organise pendant ses conférences de véritables théâtralisations de l’arbre généalogique au cours desquelles il demande à un(e) consultant(e) de choisiriez membres de sa famille  dans le public et permet ainsi à tous les spectateurs présents de visualiser les 4 générations d’une famille sur l’estrade l’amphithéâtre.
    Pour lui l’arbre généalogique est vivant en nous et nous pour enrayer la chaîne des répétitions, c’est le langage de l’inconscient, c’est à dire celui des symboles, qu’il faut utiliser, car la prise de conscience la verbalisation sont insuffisantes à la guérison. Ainsi préconise-t-il des actes psychomagiques aux personnes qui viennent le voir (auxquelles il ne demande rien d’autre rétribution qu’une lettre expliquant le déroulement et les conséquences de l’acte psychologique préconisé).
    L’acte est une sorte de rituel personnalisé, « sur mesure ».
     
  • Dr Claude SABBAH :  Il développe la bio-psychogénéalogie, qui utilise à la fois la psychogénéalogie et la Biologie Totale des Etres Vivants (BTEV).
    Cette approche veut que les maladies soient un solution du cerveau à un stress donné, et qu’à chacune de ces maladies corresponde un stress ou « conflit » intrapsychique spécifique.
    La bio-psychogénéalogie reprend  ce qu’on pourrait croire être un postulat et base (énoncé par ses partisans comme étant une « loi » ou « axiome » ) en ajoutant une composante transgénérationnelle : ainsi les conflits (conflits en latin = CHOC) qui engendre le déclenchement des maladies pourrait avoir été vécus plusieurs générations au dessus de celle du malade ; le déclenchement de la maladie surviendrait à l’instant où la mémoire de ce stress serait ravivée à la faveur d’un conflit personnel : la maladie apparaît alors comme la traduction biologique d’un conflit psychique non résolu, rejoignant ce qui concerne le psychobiologie, le conflit est de nature psychobiologique.

Les constellations familiales

La constellation familiale est issue d’une méthode développée par Bert HELLIGER, psychanalyste et psychothérapeute Allemand.

 

Cette méthode est basée sur la théorie que l'inconscient collectif groupai peut faire émerger la solution aux maux de la famille et c’est l’inconscient qui est sollicité comme étant le lieu de la solution.

 

Dans la pratique en France, certains acteurs utilisant les constellations familiales se sont aussi occupés de mémoires transgénérationnelles et se sont dès lors rapprochés de la psychogénéalogie.

Elles constituent des actes plus que symboliques qui permettent alors de résoudre rapidement les conflits transgénérationnels, libérant ainsi les générations futures, qui ne les reproduiront plus selon la « loyauté familiale invisible »suivant ce que Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE a découvert.

 

Cette loyauté devenant visible, elle permet à celui qui en est le gardien de choisir consciemment ce qui lui convient et de ne plus exprimer à ses dépens des programmes familiaux souffrants qui y sont liés.

Psychogénéalogie

L’impact du vécu de mes aïeux : thérapie développée par Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE ; la psychogénéalogie repose sur le principe selon lequel le vécu de nos ancêtres influencerait notre existence.

D’abord Freud dans « Totem et Tabou » puis Carl JUNGNicolas ABRAHAMMaria TOROK et Didier DUMAS, ont évoqués dans leurs travaux la transmission de l'inconscient d’une personne à l’autre, de génération en génération.

Mais c’est Anne ANCELIN SCHÛTZENBERGE, psychanalyste française, qui développe les principes de la psychogénéalogie en 1970.

Alors qu’elle travaille avec des malades atteints de cancer, elle repère dans leur histoire familiale des répétitions.

Elle parte de  « syndrome anniversaire » ; le résultat de ses recherches fait alors l’objet d’un ouvrage Best - seller dans le monde entier « Aïe, mes aïeux ! » 

Blocage, problème psychologique, difficultés personnelles et même les maladies pourraient provenir de ses aïeux.

On utilise la méthode du génosociogramme, un arbre généalogique, qui retrace tous les événements marquants de la vie de chaque ascendant (DC, accidents, mariages, séparations, naissances, maladies… )

L’outil obtenu permet de mettre en évidence les répétitions d’une génération à l'autre.

Commencez votre enquête en interrogeant oncles, tantes et arrière grands parents.

Le passage par la case « état-civil » se révèle également indispensable ; n'hésitez pas à vous rendre dans les mairies des villages d’origine de vos ancêtres, pour consulter registres et archives.

Asthme, cauchemars ou échecs récurrents… 

Et si nos troubles commémoraient les faits marquants de la vie de nos ancêtres ? 

Cette technique, qui étudie les répétitions sur plusieurs générations, donne des résultats étonnants.

 

Sources : Wikipédia, Au féminin, Psychologie.com

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