Témoignages sur Lydie Agnès MANFRONI, thérapeute à Nice (06000)

J’étais dans l’incompréhension, la colère, la culpabilité, un mal être. Avoir un accompagnement et un avis d’une personne autre que l’entourage, a provoqué le besoin d’aller vers un thérapeute. Le conflit relationnel avec ma fille, était le problème majeur. J’espérais que la thérapeute m’aiderait à enlever quelque peu ma souffrance et me donnerait une analyse afin d’y voir plus clair. Une personne de mon entourage m’a suggéré de venir vous consulter. Je n’avais suivi aucune autre thérapie auparavant. Cet accompagnement thérapeutique s’est déroulé de façon très positive avec un état d’apaisement après chaque séance. Au départ je ne connaissais pas la psychogénéalogie ; cette thérapie qui s’appuie sur l’étude de l’arbre généalogique, donc je partais dans l’inconnue. Grâce à elle, j’ai obtenu des indications sur mon arbre généalogique et m’a permis de comprendre certains comportements et de ce fait arriver à briser les liens toxiques. Cela m’a permis d’enlever au fur et à mesure le mal-être ressenti face à une situation que je ne maîtrise pas. Résultat j’obtiens un état d’apaisement, un lâcher prise. Alors oui je conseillerai cet accompagnement thérapeutique à toute personne qui aurait un mal-être ; pour sortir de certaines situations, il faut se faire aider. J’ai perçu la thérapeute d’une très grande bienveillance. Je pense que l’accompagnement thérapeutique permet aux personnes en souffrance d’être épaulées pendant une certaine période de leur vie. Cette méthode peut permettre de comprendre et de se libérer de dettes familiales. Si je dois mettre une note sur une échelle de 0 à 10, je donne 10.

J’étais à fleur de peau et absolument pas sûre de moi. Mon mal être qui devait absolument disparaître pour que je puisse avancer et non pas « subir la vie » et « survivre ». J’avais un besoin vital de sortir de ma coquille et de mettre de l’ordre dans ma vie. Mon médecin généraliste m’y a dirigé sans doute percevant mon égarement. J’ai essayé avec crainte car j’avais vécu une mauvaise expérience avec une « psy » classique qui m’avait fait « craquer ». Le feeling est tout de suite passé avec Lydie-Agnès. Ma première psychanalyse m’a énormément déstabilisée et j’en suis partie de moi-même, abîmée puis une psychothérapie pendant 5 ans qui m’a maintenu la tête hors de l’eau durant un divorce éprouvant. J’avais besoin d’une bouffée d’air après le décès de ma psy. Mon médecin généraliste m’a préconisé un accompagnement et le fait qu’on allait appliquer une autre méthode, m’a donné espoir. Ça s’est déroulé en douceur et profondeur petit à petit, on a abordé tous les faits et éléments qui constituaient ma vie. Je soupçonnais que le vécu de nos anciens avait une empreinte sur notre vie et Lydie-Agnès m’a super bien éclairée sur cette pensée. Rien ne nous arrive par hasard, nous avons une empreinte génétique du vécu de ceux qui nous ont précédé. Nous portons leurs chaînes et les secrets qu’ils ont vécus. Nous devons travailler dessus pour rompre les chaînes, ne plus les subir et ne pas les transmettre. Je me sens plus libre et sereine dans ma vie comme dans mon corps. J’ai pu écrire à mes parents disparus et leur exprimer leurs erreurs envers moi et les assurer de mon amour. Un soulagement, une légèreté, des choses enfouies enfin dites et plus de clarté dans mon existence. Oui, oui, oui, je le conseillerais, car on va en profondeur et loin dans l’arbre généalogique pour faire sauter les chaînes insoupçonnées jusque-là. Je l’ai perçue comme une accompagnatrice, une confidente et une personne de cœur qui sait voir où en est son patient et ne ménage ni son temps, ni son énergie pour l’amener au cran supérieur de sa progression. Une personne également disponible au téléphone si on a besoin d’évoquer quelque chose de nouveau. Cet accompagnement a pour moi une valeur très importante et me permet de toujours progresser et y voir plus clair. J’y mets une valeur spéciale et importante car on remonte et fouille loin dans l’arbre, afin de se comprendre bien sûr, mais aussi avoir une action pour mettre fin aux poids sur nos épaules. La note 10/10

Avant la thérapie, j’étais dans le doute et je me posais beaucoup de questions. Je montais dans la colère au quart de tour. Au départ c’était une proposition de mon médecin, suite à une hépatite auto-immune. Le problème majeur était d’abord cette hépatite auto-immune et par la suite ça m’a également aidé à gérer les différents décès familiaux, qui se sont cumulés en un temps record. Ce qui m’a interpelé, c’est que j’ai vu cette thérapie comme une porte de sortie et un moyen de m’apaiser et de guérir. Je suis venue vers toi par le biais de mon médecin traitant. Auparavant j’avais fait des séances de Reiki pendant 2 mois ; ça m’avait détendu. J’ai décidé de suivre un nouvel accompagnement, car la psychogénéalogie m’apporte plus en profondeur et m’apporte un apaisement qui dure. La personne qui m’a préconisé cette thérapie c’est mon médecin traitant. Cet accompagnement thérapeutique s’est parfaitement bien déroulé dans l’écoute, la compréhension, de très bonnes explications. En psychogénéalogie, j’espérais trouver des réponses à cette part de mystère qui est en nous. Grâce à cet accompagnement j’ai découvert un peu plus mes ancêtres suite à des recherches à leur sujet et j’ai appris ce qu’ils peuvent nous transmettre. Mon travail de deuil m’a beaucoup soulagé et apaisé. Le bénéfice inattendu de cette thérapie c’est que je me sens plus rassurée, plus forte, plus sereine. J’ai l’impression de me connaître mieux et de ce fait de réagir différemment, plus calmement aux multiples situations de la vie ; la réflexion prend le pas sur la colère. Ça a atténué mon impulsivité. J’ai obtenu de cette thérapie une vie peut-être un peu moins compliquée. J’ai trouvé des clefs, des outils et des moyens pour ne plus me laisser envahir par mes émotions. Je peux retrouver mon autonomie, et ma sérénité, pour vivre en paix avec moi-même. Oui je conseillerais cet accompagnement thérapeutique. Je l’ai déjà conseillé à plusieurs personnes, des collègues de travail (qui ont un « mal être », dans la vie de tous les jours suite à une enfance difficile), des amis et la famille. Cet accompagnement je l’ai perçu comme : « une EPAULE » sur laquelle j’ai pu me reposer. Il est très enrichissant et vaut de « L’OR » à mes yeux. La psychogénéalogie pour moi, c’est un « ART », un savoir-faire, comme un tableau, une peinture dans laquelle on rentre pour comprendre ce que l’artiste a voulu transmettre comme message ou émotion. Cet « ART » est devenu une philosophie de vie, MA philosophie de vie. Quand je viens te voir Lydie-Agnès c’est comme si j’entrais dans la lumière d’un cocon qui rassure. Pas de gêne, pas de restriction, c’est tout doux. La note 10/10

Avant cette thérapie, j’étais dans une situation précaire sur le plan relationnel, familial et professionnel : beaucoup de poids sur les épaules et peu, voire pas de satisfactions du tout… J’avais besoin d’aller mieux, de retrouver un élan de vie et de joie. Mon problème majeur pour faire cette démarche était mon manque de confiance totale en moi et mes capacités. Mon exigence est exacerbée. Je suis allée vers un thérapie quand j’ai vu le travail entamé par ma mère avec Lydie-Agnès. Les recherches faites, étaient très intéressantes. Le bénéfice familial m’a totalement séduite. Oui, j’ai déjà suivi des thérapies auparavant : - psychothérapie traditionnelle à la suite de 2 dépressions, traitées aussi par des prises d’anti-dépresseurs et somnifères (2008 et 2011) pendant 1 an environ, stoppée car peu d’évolution et très contraignant (rendez-vous de 1/4 heure - 2 à 3 fois par semaine) - une première expérience en psychogénéalogie + EMDR et hypnose pendant 1 an environ : pour peu de résultats concrets, thérapie trop poussée dans la recherche d’ascendants ayant participé à la première guerre mondiale… J’ai décidé de suivre un nouvel accompagnement parce que je suis à la recherche d’un mieux-être, envie de revenir à la vie. Ma thérapie se déroule en toute bienveillance, écoute des ressentis et d’innombrables découvertes étonnantes et réparatrices. Je n’avais pas d’attente spéciale en psychogénéalogie, peut-être résoudre les problèmes passés pour alléger le poids des transmissions et retrouver une qualité de vie plus calme, plus sereine à l’intérieur de moi. J’ai découvert : - un éclairage nouveau de situations présentes et concrètes avec de « l’ancien » (cf arbre généalogique), - une recherche intéressante sur mes ascendants, à laquelle il manque quand même quelques réponses du fait de mon questionnement tardif et du décès des personnes pouvant y répondre - un retour vers une spiritualité qui me convient davantage et qui n’a rien à voir avec la religion. Je ne m’attendais pas à trouver une connexion avec les défunts de mon arbre, grâce à l’écriture de lettres, et d’autres actes symboliques ; la mort reprend une place dans ma vie sans peur, sans douleur et sans chagrin. Quel soulagement ! Résultat, j’ai eu la sensation d’être une chenille qui se transforme en papillon ; le papillon est en cours d’éclosion Oui, je conseillerais cet accompagnement à : - Maxime mon fils, qui porte un lourd passé du côté paternel, - ma cousine Sandrine qui a coupé tout lien avec sa mère et du coup sa famille maternelle… - ma soeur Nadège. Avec Lydie-Agnès, le contact est facile, beaucoup de bienveillance et de disponibilité. Sa valorisation et son constat du chemin que j’avais parcouru, même si je ne le voyais pas tout de suite, m’a aidé. J’ai appris à mettre des mots justes sur mes ressentis, pour mieux les cerner et me donner les moyens de les réparer, modifier ou supprimer, quand ils ne sont plus d’actualité. Je donne la note = 10 parce que je me sens tellement mieux, parce que je visualise le chemin parcouru, parce que j’ai envie de continuer pour moi et pour mon fils, parce que je suis reconnaissante d’avoir croisé ton chemin Lydie-Agnès.

Je traversais une période de turbulences, mon milieu professionnel devenait de plus en plus toxique, ma famille était fortement perturbée par la maladie de Parkinson de ma mère, mon mari venait d’être brutalement licencié… et je craignais que ce stress permanent ait des répercussions sur ma santé. En revanche, mes enfants vivaient une adolescence tranquille, mais, je me sentais toujours à la limite d’un burnout, à côté duquel j’étais déjà passé quelques années auparavant et qui m’avait conduite à un accident. En faisant des investigations pour trouver les raisons d’un dysfonctionnement de ma thyroïde, un médecin m’a informé que j’avais une hémochromatose. Mes analyses n’étaient pas à priori inquiétantes mais une surveillance s’imposait. Je lui ai demandé s’il y avait un travail de fond que je pouvais faire parallèlement au traitement pour éviter de déclencher la maladie. Il m’a conseillé la psychogénéalogie et m’a donné les coordonnées du cabinet ; cette maladie étant héréditaire, j’avais trouvé cette approche pertinente. J’avais suivi une psychothérapie traditionnelle pendant près de 10 ans et il m’avait semblé tourner en rond, verbaliser ne me suffisait pas. Je sentais bien que quelque chose ne fonctionnait toujours pas en moi, mais je n’étais pas décidée à m’aventurer dans d’autre thérapie. Ce n’est que lorsque j’ai eu des problèmes de thyroïde que je me suis décidée. Je me souviens que lors de la première séance la phrase « l’hémochromatose…c’est qu’il y a de la colère dans l’arbre » a résonnée en moi avec une force inattendue. Je ne savais pas encore ce qu’était « un arbre » et encore moins qu’il pouvait y avoir de la colère dedans, mais mon cœur s’est mis à battre ; on m’avait souvent fait la remarque je ne me mettais jamais en colère et j’ai senti là qu’il y avait un lien, quelque chose de fort qui m’échappait. J’ai compris qu’il fallait que je me laisse guider, accompagner. Les recherches que j’ai dû mener ensuite pour la réalisation de l’arbre m’ont beaucoup troublées, la réception de chaque document était chargée d’émotion, une arrière-grand-mère dont je portais sans le savoir le prénom, des dates de naissance, de décès significatives… mais aussi à plusieurs reprises des coïncidences improbables comme l’acte de naissance de ma grand-mère qui est arrivé le jour de l’anniversaire de ma fille, et dont j’ai vu ce jour-là que je l’avais conçue le jour d’anniversaire de ma grand-mère… J’étais entrée dans une autre dimension et mon esprit rationnel était complètement dépassé. Mais l’accompagnement s’est fait tout en douceur, à mon rythme, j’avais besoin de temps pour appréhender tout cela. Les séances suivaient ma problématique du moment, sans perdre de vue mon travail de fond. Je me suis sentie prise en charge, comme si la charge que je portais se répartissait peu à peu autrement. Les actes symboliques étaient amenés et posés au bon moment pour que je puisse les accueillir, et j’en ressentais après chaque séance les effets subtils mais puissants. J’avançais à mon rythme sur les prises de conscience. Je désirais trouver des outils pour me sentir guérie et je sentais que cela ne pouvait pas venir uniquement de médicaments, de raisonnements mentaux ou de changement de comportement. J’ai découvert la force des actes symboliques et leur pouvoir de réparation sur moi. Pourtant depuis toujours, écrire une lettre à la main me demande un effort dans le fond et dans la forme ; mais lorsque ma main se laisse dicter ces lettres, imaginaires mais bien réelles, que je n’aurais jamais pu formuler moi-même, leur côté solennel a sur moi un effet certain : la sensation d’un apaisement, le sentiment étrange que leurs destinataires l’ont bien reçue, comprise, que tout est rentré dans l’ordre, que « tout est juste ». Concrètement, j’ai été surprise de ressentir une forte émotion en écrivant comme si la personne était en face de moi. Les mouvements même de l’écriture, la pression dans mes doigts et dans ma main lors des passages à la ligne, tous ces petits gestes qui structurent la lettre et ma pensée me demandent un effort physique, intellectuel et émotionnel. Mais, pendant ce travail d’écriture laborieux, j’ai chaque fois la sensation de me libérer de quelque chose d’obscur, tapi à l’intérieur et désormais déposé sur un papier blanc. J’ai découvert qu’en les relisant plus tard, je m’étais approprié des phrases qui n’étaient pas de moi mais dont j’avais l’impression qu’elles étaient en moi, des morceaux de l’histoire que j’avais occulté. J’avais récupéré et éclairé tous mes morceaux. J’ai découvert quelque chose de profondément humain et naturel dans cette approche d’arborescence : je pouvais me relier à ce que je ne voyais pas et établir une forme de communication en prenant soin de moi et des autres. Un outil pour l’assertivité. Il résulte de cette thérapie qu’à l’issue de chaque séance les tensions dans mon corps s’estompent (douleurs lombaires, névralgie cervico-brachiale); les jours suivant c’est comme si quelque chose « infusait » pour atteindre des tensions plus profondes… Lorsque de nouvelles épreuves de la vie se présentent ensuite à moi, je les aborde différemment, comme si d’un regard d’enfant démuni, ces expériences me faisaient passer en douceur à un regard d’adulte. J’ai pu faire face à des situations de la vie qui m’auraient profondément bouleversée et auraient sûrement eu des répercussions sur ma santé: plusieurs décès de proches à gérer coup sur coup, dont celui de ma mère, et en même temps mon licenciement abusif, mais que j’ai eu conscience d’avoir moi-même provoqué… Cette thérapie m’a donné une force que j’aurai été incapable de trouver toute seule, elle m’a ouverte à une autre dimension, en me donnant les outils pour l’explorer. Tout d’abord, je conseillerai vivement à toutes personnes qui comme moi ont déjà passé du temps dans une thérapie traditionnelle de tenter ce type d’expériences qui leur en fera gagner beaucoup. Plus largement, il y a dans cette thérapie quelque chose qui relève de l’acception que cela puisse être simple, irrationnel, et il me semble que chacun, quel que soit son problème, gagnerait à tenter une fois l’expérience, même les esprits les plus obtus pourraient se laisser surprendre. On prend le temps de nous raconter une longue histoire dont on fait partie, et il y a quelque chose de ludique qui peut convenir aux enfants, ne serait-ce que dans le dessin de l’arbre, les enquêtes à réaliser, aux adolescents, pour une autre vision de leur cours de biologie, et aux personnes âgées pour ouvrir des perspective. Pourquoi ? pour grandir, quel que soit son âge, pour apprendre à utiliser de nouveaux outils pour cultiver son jardin et observer combien ce travail peut profiter à tous les arbres. Comme quelqu’un d’extérieur mais faisant partie de la famille, en connaissant les codes et les tics de langage et ayant un regard bienveillant sur l’ensemble des membres. Quelqu’un qui a la réponse adaptée en temps de crise, comme en temps de réflexion, dans les petits maux du quotidien, comme dans des approches plus métaphysiques. Un repère ancré en profondeur qui m’a permis de ne pas sombrer, si m’égarer, avec toujours l’exercice ou le mot juste pour que je puisse sortir grandie d’une situation. Il m’est difficile de mettre une valeur chiffrée. La psychogénéalogie me parait plutôt être au passage d’un chiffre à l’autre, un accompagnement qui m’aide à monter sur cette échelle en me permettant d’en identifier les marches, m’orientant sur les médecines traditionnelles ou parallèles qui peuvent me faire passer un cap. Dans cet esprit, j’aurai tendance à dire 10 car pour ma part, je n’ai pas trouvé de disciplines qui ait une approche aussi complète de la personne, d’un point de vue physique, psychique, de son environnement familial et social.

J’étais très mal dans ma peau. J’avais très peu confiance en moi. Je n’arrivais pas à m’aimer et je ne me sentais pas aimée. J’étais dans des relations de couple compliquées. J’avais beaucoup de tristesse et de chagrin au fond de moi ! Le sentiment de ne pas y arriver seule ; Puis une rencontre avec une collègue qui avait consulté pour sa fille, elle allait mieux depuis son travail thérapeutique, ce qui a provoqué mon besoin d’aller vers un thérapeute. Je venais de quitter mon conjoint. J’avais une relation toxique avec cet homme. J’avais une grande tristesse après ma séparation et je savais que cela pouvait venir de mon enfance, de mon passé. Je savais qu’avec mon passé, une thérapie transgénérationnelle était nécessaire pour m’aider à m’en libérer. C’est Manuela (une autre thérapeute) qui m’a orienté vers Lydie-Agnès. Oui j’ai vu des psychologues pendant plusieurs mois. Après mon accouchement et après la séparation avec le père de mon fils, ils m’ont beaucoup aidé. Lorsque je me suis séparée de mon compagnon de l’époque Olivier, j’ai décidé de suivre un nouvel accompagnement. C’est une collègue qui m’a parlé de Manuela (thérapeute) et de sa méthode. Je n’allais pas bien, j’ai voulu essayer. Puis Manuela m’a conseillé de faire une psychogénéalogie. Je vais vers la psychogénéalogie pour que l’on m’aide à revenir sur mon passé afin de m’en détacher. J’ai découvert beaucoup de bienfaits. Je me sens beaucoup mieux, plus légère. Je me sens plus détachée de l’histoire avec mon père, mon passé. Je ne me sens plus alourdie par le chagrin ou la tristesse. La joie et la douceur rayonnent à l’intérieur, c’est plus lumineux dans mon corps, dans mon coeur, plus léger. J’ai de meilleurs relations avec les membres de ma famille, sœur, mère, fils… Oui je le conseillerai et je le conseille quand je sens qu’une personne en a besoin. Je sens que tu as un don pour sentir les choses, les problèmes et pour mettre les mots justes dessus. En termes de valeur, elle est d’une très grande importance pour moi, cette thérapie, car sinon je serais encore très mal ! Elle est nécessaire lorsqu’on fait un travail sur soi, en profondeur. La note est 9/10. Il me faudrait une baguette magique pour arriver à 10/10. Il ne me manque rien.

J’étais ingénieur salarié dans une grande entreprise, en couple, en location avec mon ami. J’étais arrivé à un point où je souhaitais mieux me connaître, j’avais l’intuition que quelque chose n’allait pas, que j’étais comme enfermé, que je portais un poids. J’avais des douleurs sternales et au dos, que le médecin ou ostéopathe ne pouvaient traiter. Ces douleurs révélaient des problèmes d’ordre psycho-émotionnels. Mon médecin m’a rapidement fait comprendre que je n'avais pas fait le deuil de ma mère, décédée 7 ans auparavant. J’avais géré cet événement en mode survie, avec comme un sentiment d’obligation de continuer ma vie sans broncher… en reproduisant un schéma familial, surtout dans la lignée d’hommes, qui est de ne pas montrer ses émotions. Mon médecin traitant m'a envoyé en psychogénéalogie, que je ne connaissais pas à l’époque. Le fait que mon médecin me le recommande était déterminant. Je lui ai pleinement fait confiance. J'avais commencé une psychothérapie 2 ans auparavant. Cela m'avait aidé à y voir plus clair, à mieux accueillir mes émotions, à mieux comprendre certains de mes mécanismes, mais je n'avais pas travaillé le deuil en profondeur. J’ai continué cette psychothérapie pendant l’accompagnement en psychogénéalogie. J'étais ouvert à une nouvelle approche et la recommandation de mon médecin a grandement joué. La collaboration entre la thérapeute et le médecin était sécurisante et favorisait une prise en charge globale de mon bien-être et de ma santé. C’était l’occasion de me concentrer sur le deuil de ma mère, et le fait que j’étais suivi pour ce sujet par UNE thérapeute et non UN, était probablement significatif aussi. Mon médecin traitant, qui pratique la médecine préventive, me conduit vers Lydie-Agnès. L’accompagnement a commencé par la définition d’un objectif, qui était déjà difficile à déterminer pour moi. J’ai pu commencer à fournir des informations sur mon arbre généalogique. Au début, je n’étais pas du tout convaincu de certaines approches comme les syndromes d’anniversaire, qui ne me semblaient pas du tout rationnel ! J’ai décidé de jouer le jeu en me disant : « si c’est pas rationnel mais ça m’aide à me sentir mieux, alors peu importe ! ». Et ça m’a aidé ! J’ai pu doucement mais sûrement faire ressortir des émotions bloquées depuis quelques années. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Je me doutais que la dimension familiale de l’arbre généalogique serait présente. Je ne savais pas ce que voulait dire « faire un deuil ». Je souhaitais juste trouver des réponses à mes problématiques et me sentir libéré et sans douleur. J’ai découvert énormément d’informations sur ma famille, sur leurs vies. J’ai découvert des émotions et sentiments que je ne pensais pas avoir, ou encore des mécanismes inconscients qui affectaient ma vie et mes choix. J’ai aussi découvert la puissance de l’écriture pour libérer ce que l’on a sur le cœur. L’accompagnement par l’écriture est à la fois une approche douce et très efficace. La thérapeute m’a invité à approfondir la méditation alors que je pratiquais déjà le yoga régulièrement. Les circonstances m’ont amené à découvrir la philosophie et des pratiques de bouddhisme tibétain, ce qui m’a ouvert sur un tout autre niveau de chemin spirituel et de mieux-être. L’accompagnement m’a permis de dépasser certaines croyances limitantes, d’intégrer progressivement ma dimension intuitive, et ma foi en la vie. La thérapeute a également souhaité à un certain point de mon accompagnement que j’intègre ce qu’on avait travaillé plus profondément dans le corps. Ce qui me semblait pertinent même si je ne savais pas trop ce que cela impliquait. Elle m’a invité à consulter une kinésiologue, pratique qui m’était totalement inconnue. L’approche de cette praticienne ne m’avait pas parlé à l’époque. Quelques années plus tard, me voici moi-même kinésiologue ! Je suis arrivé à un niveau avancé de l’acceptation du deuil de ma mère. J’ai pu clarifier l’état de mes relations, notamment de couple et celle avec mon père. Avec la mort de ma mère, j’ai projeté énormément d’attentes sur mon père ce qui a entrainé beaucoup de déception et de frustration. Ma douleur au sternum s’est dissipée. J’ai pu évacuer beaucoup de colère qui soulage mon foie et ma vie. Cet accompagnement, ainsi que la philosophie bouddhiste que je découvrais, m’ont aidé à vivre sereinement le décès de ma grand-mère et sa cérémonie. Et cet accompagnement a contribué à ce que je sois plus aligné avec qui je suis, à me tourner professionnellement vers une activité qui me fait vibrer. Je suis devenu moi-même thérapeute, et je suis ravi de travailler en collaboration avec Lydie-Agnès. Je l’ai déjà recommandé à des amis, mais le fait que les séances ne soient pas remboursées était un frein. Je pourrais être amené à recommander la thérapeute dans le cadre de mes propres séances si cela est pertinent pour le consultant. J’ai pu recommander récemment Lydie-Agnès à quelqu’un qui cherchait justement une recommandation dans ce domaine. J’ai perçu Lydie-Agnès comme étant extrêmement bienveillante, à l’écoute, douce. Une séance dure 1h30-2h et cela permet de partager ce qui est vécu dans son quotidien et de travailler ensuite en profondeur sur certains sujets. Elle est très intuitive, rassurante, et s’adapte à mon état, mon énergie du moment, ce que je suis en mesure de fournir pendant la séance. Lydie-Agnès a également su être présente pendant des moments de « crise » comme le décès de ma grand-mère en m’aidant par un accompagnement même à distance. Cet accompagnement a été déterminant dans mon évolution. Il m’a permis de passer à un autre chapitre de ma vie, voire à un autre tome ! Cet accompagnement, comme toutes les aides que j’ai sur mon chemin, est d’une valeur inestimable. Comment évaluer une aide qui permet d’être une meilleure version de soi-même, d’être plus stable, plus serein, plus aligné, plus léger ? Cet accompagnement a contribué au fait que je devienne moi aussi accompagnant : quelque part, toute aide que j’apporterais aux autres appartiendra aussi à toutes celles et ceux qui m’ont aidé jusque-là ! Il m’est plus difficile d’évaluer la psychogénéalogie. Je n’en connais pas exactement le périmètre. C’est une grille de lecture très intéressante pour identifier des schémas répétitifs, des mémoires transgénérationnelles qui nous affectent, notamment des deuils non digérés dans notre famille. C’est d’ailleurs un travail que nous avons fait sur mon grand-oncle décédé pendant la guerre pour travailler entre autres sur mes addictions. Cependant d’autres grilles de lecture ont pu être utilisées durant l’accompagnement ce qui ne me permet pas de faire une évaluation juste de la psychogénéalogie. Je mets 9,99… Je laisse une petite place à de l’amélioration ! J’ai de vagues souvenirs durant l’accompagnement de séances frustrantes, de sentiments de ne pas avancer, des mauvaises compréhensions… mais cela fait partie du chemin, et avec le recul, je peux voir tout le chemin parcouru. Je me salue du fait d’avoir tenu bon, et je remercie Lydie-Agnès d’avoir accueilli mes aléas d’humeur.

Avant le début de la thérapie, j’étais en état de grande fatigue, de colère rentrée. C’est mon médecin traitant qui m’a conseillé d’entreprendre cette thérapie. C’était un mal être. Il fallait me sortir de là absolument. Est-ce que je me rendais compte de ma colère, je ne sais pas. Conseillée par mon médecin car de moi-même, je n’aurais pas trouvé le temps de le faire. Je ne voulais pas consacrer de temps pour cela. J’avais d’autres choses à faire, plus importantes, surtout pour les autres. Pas de temps pour moi. Non je n’avais jamais fait de thérapie, aucune, absolument rien. Je n’étais pas contre l’idée, mais toujours pas le temps et le coût étaient aussi un frein. Suite à l’insistance de mon médecin généraliste, les enfants grands, moi à la retraite, c’était plus facile de l’envisager. Dans l’ensemble, très bien et dans le calme et la bienveillance. Quelques séances un peu difficiles peut-être… Le contact est très facile, c’est l’écoute et la bienveillance qui m’ont rassuré pour venir à chaque séance, même si certaines ont été plus difficiles que d’autres ou douloureuses. Pour avoir la liberté d’atteindre un objectif ou pas ; c’était très libérateur. Comme je ne connaissais pas cette thérapie, j’y suis venue sans aucune attente spéciale sinon de me sentir mieux. J’ai fait un peu mieux connaissance avec moi-même. En découvrant qui j’étais réellement, mon véritable potentiel, avec la douceur dont je suis capable, que j’ai toujours confondus avec de la mièvrerie, ainsi que le pouvoir de « l’être » plus important que celui de « faire ». Une aide dans ma vie quotidienne. Réussir à me départir de ma colère constante que je vivais comme une seconde peau. Ma vie est devenue beaucoup plus légère, grâce à ce travail. Il me semble avoir apaisé ma colère et il en découle un quotidien plus soft. Mais également découvrir mes confusions qui me faisaient faire fausse route. Reprendre ma liberté que je croyais menacée à la moindre contrainte. Oui je conseille cet accompagnement, certainement. A toute personne cherchant une aide pour améliorer sa qualité de vie. J’ai eu un très bon contact dès le début. Beaucoup de douceur, d’empathie, de bienveillance ; accompagnement sans dirigisme. Liberté de prise de rendez-vous et d’arrêter ou de poursuivre à mon gré. C’est très profond. Ça va chercher à la fois dans mon intime, ainsi que celle de mes aïeuls. J’attribue la note de 8,5/10 Pour arriver à 10/10, il me faudrait finir la thérapie. Les circonstances ne m’ont pas permis de poursuivre, mais je n’ai pas dit mon dernier mot…

Lors des séances je me suis sentie en confiance et guidée pour traverser des épreuves cumulées, maladie, licenciement, deuil. Lydie Agnès Manfroni a su trouver à chaque moment la réponse juste et ´l’outil’ approprié, toujours à l’écoute de mon rythme.